Ma libido
Freud neurologue Autrichien fut le premier à utiliser le terme de libido. De nos jours, ce terme est toujours utilisé, et désigne le désir sexuel. Un autre synonyme, peu employé car trop péjoratif, est le terme de frigidité. L’absence ou la diminution du désir sexuel touchent aussi bien les femmes que les hommes.

La libido ou désir sexuel est un élan naturel vers la sexualité, un appétit, un intérêt sexuel. Elle est propre à chaque individu, chacun peut éprouver plus ou moins de désir. Ce qui est très important, c'est qu'il n'y a pas de libido dite normale. « Alors, si on vit avec quelqu'un qui a le même rythme que nous, nous sommes heureux. Si les deux partenaires ont des rythmes différents, ça peut poser problème », explique le Dr Sylvain Mimoun, gynécologue.
La libido peut varier selon les individus, ou chez une même personne, selon les périodes de sa vie. La baisse de libido, entraîne une diminution ou une perte totale d'intérêt pour la sexualité.
Chez la femme, la libido est fortement corrélée aux sécrétions hormonales produites notamment par les ovaires. L'excitation qui déclenche le désir est soutenue par les androgènes, des hormones mâles sécrétées à petites doses. D'autres hormones, les œstrogènes assurent la lubrification des muqueuses. Ces sécrétions hormonales jouent donc un rôle majeur dans le bon fonctionnement de la libido féminine. Une baisse de libido survient souvent pendant une grossesse, autour de la ménopause ou après une maladie grave.
Chez l'homme, les sécrétions hormonales sont principalement constituées de testostérone, une hormone mâle, mais toutefois sécrétée en petite quantité chez la femme. C'est la même hormone sauf que les quantités ne sont pas du tout les mêmes.
Une étude menée par la plateforme Émancipées en juin 2021, révèle que 61,5 % des Françaises ne sont pas satisfaites de leur libido. Pour la plupart, ce manque d'appétit sexuel engendre un sentiment de honte ainsi que de la frustration et bien d'autres émotions. Ces femmes trouvent que leur libido est trop fluctuante, variable, faible, changeante, peu présente, cyclique, voire inexistante. Ce manque de désir impact naturellement la qualité de leur vie sexuelle 40 % des répondantes la considèrent "décevante" mais il pèse également sur leur bien-être : un peu plus de 4 femmes sur 10 ressentent de la honte vis-à-vis de leur libido en berne.
A contrario, 7,6 % des femmes affirment avoir honte de leur libido trop débridée. Faire l'amour pour "faire plaisir" est une conséquence bien trop présente et qui n’est pas sans impact. 41 % des femmes déclarent avoir déjà eu des rapports sans en avoir envie dans le simple but de "faire plaisir" à leur partenaire, et 14 % pour "se rassurer sur leur normalité".
Notre libido sera plus en forme en été que pendant les autres saisons. Ainsi 63 % des femmes et 73 % des hommes déclarent avoir envie de faire « plus souvent l’amour » en vacances. Car ils n’ont pas toutes les contraintes que leur impose leur vie professionnelle notamment, notre charge mentale est beaucoup plus apaisée.
Je vous invite à venir me voir en consultation pour davantage d'informations et comprendre la ou les causes d'un problème de libido. Je vous accompagnerais à l'aide de la naturopathie afin d'agir sur le ou les troubles.
Cindy Hellio
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